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Aliette Beytrison est une enseignante à le retraite qui donne des cours de patois aux enfants de la région. Elle dit l’importance de maintenir en vie le patois puis les enfants de l’école primaire d’Évolène interprètent une chanson toujours en patois.

Alexandra et Jean-Louis Fardel interprètent une chanson en patois d’Ayent sous la forme d’une saynète racontant un mariage plutôt mouvementé entre un avocat et une fille de paysan.

Jessica Crottet interprète à la guitare acoustique une très jolie chanson d’Henriette Crettaz Maistre de Villaz en patois d’Évolène.

Jessica Crottet raconte de quelle manière elle a appris le patois d’Évolène et l’importance que cette langue a pour elle.

François Salamin de Luc nous raconte à sa manière et en patois de St-Luc/Chandolin comment, selon une ancienne tradition anniviarde, Adam et Ève se sont rencontrés.

François Salamin de Luc nous raconte à sa manière et en patois de St-Luc/Chandolin comment, selon une ancienne tradition anniviarde, Adam et Ève se sont rencontrés.

C’est l’histoire mouvementée de la patinoire de Haute-Nendaz qui, au commencement, occupait une « position de repli » à Praplan avant de s’installer définitivement aux Écluses où elle se trouve aujourd’hui. Elle est racontée par un de ses fondateurs, Gaston Gillioz, en patois de Nendaz.

C’est l’histoire de la promotion en première ligue du Hockey Club de Nendaz fêtée en 1967 et racontée aujourd’hui par l’un de ses anciens joueurs, Gaby d’Odette, en patois de Nendaz.

«Qu’elle est belle la rivière La Salintze quand elle saute le Peso, elle chante et puis s’en va jusqu’au fond de la vallée.» Marie-Jo Agati interprète en patois de Leytron cette belle mélodie romantique.

Au menu de cette période de Fêtes voici une très belle chanson en patois d’Hérémence pour célébrer Noël, écrite par Emile Dayer, mise en musique par Jean Daetwiller et interprétée par Nathalie Dayer (voix soprano), Stéphanie Michelloud (voix alto) Germain Nendaz (voix ténor) et Joël Nendaz (voix basse).

C’est l’histoire de Tsardon, le petit hérisson et de son amie la vache Toupin qui, ensemble, inventent la recette d’une poudre magique pour réchauffer nos cœurs… Un conte écrit et illustré par Marie-Madeleine Métrailler de Saclentse, lu par Jean-Pierre Fournier en patois de Nendaz.

Marie-Hélène Fauchère Bonvin est garde-chasse. Elle nous raconte en patois d’Évolène une journée de travail et une poursuite particulière et émouvante avec son fidèle « chien de rouge ».

« La nuit quand tu venais vers nous – Tu me prenais sur tes genoux – Tu me disais que tu m’aimais – Et moi, la crétine je te croyais… » sont les paroles d’une chanson traditionnelle interprétée par Marie-Jo Agati en patois de Leytron.

Le Premier novembre est le jour pour fêter tous les saints et se retrouver en famille pour se souvenir de tous ceux qui ne sont plus parmi nous. Une histoire racontée par Maurice Michelet en patois de Nendaz.